Les arrêts maladie surviennent généralement après un accident ou un traumatisme. En ce qui concerne les femmes enceintes, il est possible de bénéficier des congés de maternité. Une assurance pour travail vous permet de bénéficier d’une couverture même en cas d’arrêt de travail justifié.
Cette charge est supportée par les entreprises qui ont la responsabilité de souscrire une assurance pour la protection de leur salarié.
En cas d’incapacité temporaire de travail
Si pour une raison ou une autre, vous n’êtes pas apte à travailler, la sécurité sociale est la première à intervenir dans ce processus. La sécurité sociale verse un montant prédéterminé appelé indemnités journalières.
Pour toucher à cette indemnité, il faut absolument être à jour vis-à-vis de son assureur. En fonction de la cause de l’arrêt de travail, vous recevrez votre indemnité. Il peut s’agit d’un :
accident de travail ;
maternité ;
maladie.
Dans la plupart des cas, le versement est effectué dès le 4e jour de l’arrêt de travail.
En cas d’invalidité totale
Une fois que l’arrêt de votre collaboration dépasse trois ans, il est possible d’obtenir le bénéfice d’une pension. Cela permet alors à la sécurité sociale de vous reconnaître comme étant invalide au travail.
La pension d’invalidité est calculée sur la base de vos 10 meilleures années de collaboration. Généralement, ce montant varie de 30 à 50 % de votre salaire net en fonction du degré d’invalidité.
Cette pension est versée tant que vous n’avez pas repris votre fonction. La pension de salaire est remplacée par la pension de retraite si vous avez plus de 60 ans pour les personnes nées avant 1951.
Bien s’assurer grâce à son entreprise
En cas d’arrêt de travail, ce n’est pas seulement la responsabilité à votre assureur de payer les indemnités. L’entreprise en question prend part aussi à ce payement.
Dès que vous avez plus d’un an de collaboration avec l’entreprise, ce dernier est obligé de payer votre indemnité. Selon la loi en vigueur, les 30 premiers jours, l’employé doit percevoir 90 % de son salaire brut.
En plus de tout ceci, il est possible que l’entreprise applique une convention collective.
Obligation du salarié en cas d’arrêt du travail
Une fois que vous n’êtes plus apte à travailler et assumer vos fonctions, il est obligatoire de tenir informée votre entreprise et aussi votre assureur.
En effet, pour percevoir les fonds de l’assureur ainsi que celui de l’entreprise, il faut justifier son état par une évaluation médicale. Un médecin certifié doit pouvoir prendre votre défense après une analyse minutieuse. Toutes les démarches vers l’assureur doivent être faites dans le délai imparti.
C’est seulement dans ces conditions que vous pouvez bénéficier de la couverture de votre assureur ou entreprise.
Contrat prévoyance collective
Lorsqu’un employé est en arrêt de travail, les collaborateurs de l’entreprise. Cet arrêt peut conduire à une perte de revenus considérable. En dépit des indemnités légales et des dispositions de la convention collective, il est possible de souscrire un régime de prévoyance.
Dans le cas d’une incapacité de travail, les garanties de prévoyances collectives prennent le relais.
Faire recours à un bon assureur vous permet de bénéficier d’une bonne couverture en cas d’arrêt de travail involontaire.
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